Bourg-en-Bresse (Bassin de)

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communauté d’agglomération de l’Ain, associant 74 communes et 132 700 hab. sur 123 680 ha. Bourg-en-Bresse (siège), Attignat, Bresse Vallons, Ceyzériat, Foissiat, Marboz, Montagnat, Montrevel-en-Bresse, Péronnas, Polliat, Saint-Denis-lès-Bourg, Saint-Étienne-du-Bois, Val-Revermont et Viriat dépassent 2 000 hab.

Buellas (1 890 Buellassiens, 1 021 ha), 8 km à l’ouest de Bourg, a une église du 12e s. à haut clocher et plusieurs parcs et jardins protégés; elle n’avait que 690 hab. en 1968, et a gagné 560 hab., soit +42%, après 1999.

Montcet (720 Montceliens, 668 ha), 10 km à l’ouest de Bourg, est traversée puis longée à l’est par l’Irance. Elle a gagné 220 hab. après 1999 (+44%).

Vandeins (730 hab., 940 ha) est 15 km à l’ouest de Bourg, L’Irance borde le finage au nord; +210 hab. après 1999 (+40%).

Montracol (1 040 hab., 1 456 ha) est 8 km à l’ouest de Bourg. La D956 rectiligne traverse le finage au sud, par le hameau de l’Étoile, assorti de l’étang de Curtioux (20 ha). La commune a 410 hab. de plus qu’en 1999 (+65%).

Saint-André-sur-Vieux-Jonc (1 210 Jonçois, 2 422 ha dont 391 de bois), est à 11 km au SO de Bourg, au bord du Vieux-Jonc. La commune s’est nommée Saint-André-le-Panoux jusqu’en 1902; elle avait 540 hab. au creux de 1968 et croît depuis; +230 hab. après 1999.

Saint-Rémy (980 Sanrimois, 738 ha), 5 km à l’ouest de Bourg, aligne une série de lotissements sud-nord, l’ancien village au sud, le hameau de Corgenon un peu au nord traversé par la D936; petite zone d’activités au NE au bord de la Veyle, avec étangs et pisciculture; installations électriques Stemi (50 sal.), travaux publics Somec (70 sal.). La commune n’avait que 300 hab. en 1962 et a crû ensuite, dont +150 hab. après 1999.

Servas (1 300 Servassiens, 1 305 ha dont 233 de bois) est à 7 km SSO de Bourg sur la D1083 et la voie ferrée vers Lyon. Elle a plusieurs étangs au sud, une fromagerie du groupe Bongrain, spécialisée dans le bresse bleu (Bressor, 170 sal.), une usine de viandes et charcuterie Le Bresse (90 sal.) et une fabrique de mortiers et bétons Saint-Gobain Weber (80 sal.). Sa population a gagné 370 hab. après 1999 (+40%).

Lent (1 440 Lentais, 3 148 ha) est à 8 km SSO de bourg sur la D22, au bord de la Veyle, parmi bois et étangs; lignes électriques Sobeca (50 sal.), transports Cotton (45 sal.). Elle a 180 hab. de plus qu’en 1999.

Dompierre-sur-Veyle (1 210 Dompierrois, 2 910 ha dont 701 de bois) est à 14 km au sud de Bourg, en Dombes parmi les étangs, dont le Grand Marais à l’ouest (87 ha); maçonnerie Tabouret (40 sal.); +230 hab. après 1999.

Druillat (1 170 Druillatis, 2 072 ha dont 697 de bois), 18 km SSE de Bourg juste au NO de Pont-d’Ain, contient au NE un vaste échangeur qui fait communiquer l’A40 et l’A42, plus la N75(D1075) au-dessus du cours du Suran, 3 km avant son confluent avec l’Ain. Le hameau de Turgon est au-delà, celui des Rossettes au NO. Druillat a 280 hab. de plus qu’en 1999 (+31%).

La Tranclière (290 Tranclériens, 1 475 ha dont 704 de bois) est un petit village de la Dombes à 13 km au SSE de Bourg, parmi bois et en étangs. L’A40 longe la limite orientale de son finage.

Saint-Martin-du-Mont (1 920 Saint-Martinois, 2 809 ha dont 578 de bois), 15 km SSE de Bourg, 8 km au nord de Pont-d’Ain, est la commune la plus méridionale du Revermont, qui s’y termine en pointe au-dessus du Suran par le mont de la Vavre (433 m); elle bénéficie de la N75, de l’autoroute A40 et d’une gare à l’ouest de la commune; carrosserie (RBM, 30 sal.). La population communale, de 1 800 hab. au milieu du 19e s., était tombée à 900 en 1975 et augmente depuis. Elle a 590 hab. de plus qu’en 1999 (+44%).

Certines (1 550 Certinois, 1 592 ha dont 534 de bois),10 km SSE de Bourg sur la rive gauche de la Reyssouze, accueille les transports Capuc (35 sal.), les travaux publics Eurovia (80 sal.), les espaces verts Mainaud (45 sal.) et le nettoyage Maisonhaute (30 sal.). L’A40, la N75 et la voie ferrée vers Belley passent à l’est; l’ouest de la commune est dans les bois et étangs de la Dombes. La commune n’avait pas 400 hab. en 1962 et croît depuis, gagnant encore 210 hab. après 1999.

Tossiat (1 390 Tossiatis, 1 017 ha), 11 km SE de Bourg au pied du Revermont, fut jadis une ville fortifiée et en a conservé un plan en damier; le château de la Garde est du 16e s. Mais le petit village originel est submergé par les lotissements. À l’ouest, à la limite de Certines, la commune a une gare et un échangeur A40-N75, avec péage autoroutier, à 8 km de Bourg-en-Bresse, qui a attiré des entreprises; usine de colorants pour plastiques du groupe états-unien PolyOne (75 sal.); outils de levage Loc’Nacelle (55 sal.), transports Trans Touross 40 sal. et base des autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR, 60 sal.). La commune n’avait que 550 hab. entre 1954 et 1975 et croît depuis, gagnant 250 hab. après 1999.

Saint-Just (980 Saint-Justins, 338 ha) jouxte Bourg au sud-est, sur la D979. Elle accueille une base logistique du groupe de distribution Système U (290 sal.) et des ateliers de meubles des cuisines Charles Réma (50 sal.), plus une agence de l’Apave (50 sal.) et une maison d’accueil spécialisée de l’AFHP (handicapés physiques). La commune n’avait que 210 hab. en 1968; elle en a gagné 180 depuis 1999.

Revonnas (920 Rebenniens, 775 ha), 10 km SE de Bourg au pied du Revermont, a un habitat continu jusqu’à Ceyzériat au nord; hameau de Sénissiat au SE. La D975 et la voie ferrée vers Nantua contournent à l’est le Montagne Noire (534 m). La population a augmenté de 410 hab. depuis 1999 (+79%).

Journans (390 Journanais, 245 ha), 12 km SE de Bourg, est une petite commune au pied même du Revermont, à la source de la Reyssouze juste à l’est de Tossiat; +50 hab. après 1999.

Bohas-Meyriat-Rignat (970 hab., 2 351 ha dont 774 de bois), 16 km ESE de Bourg, dans le val du Suran, est issue d’une fusion de 1973 entre trois anciennes communes de 160, 190 et 190 hab.; elles en totalisaient 1 600 dans la première moitié du 19e s., mais leur population a un peu augmenté après la fusion, gagnant 230 hab. depuis1999. La commune n’atteint pas le cours de l’Ain à l’est.

Hautecourt-Romanèche (780 Altacurciens, 2 160 ha dont 245 de bois), issue d’une fusion de 1972, s’étire sur 9 km nord-sud le long de la rive droite de l’Ain. Hautecourt est à 17 km ESE de Bourg, dans un val et sur la D929, qui franchit l’Ain 3 km à l’est. À l’ouest, le Mont Rosset (520 m) porte la très petite réserve naturelle de la grotte de Hautecourt (10 ha, fermée au public) et les ruines du donjon de Buenc. Romanèche est 3 km au nord dans le même val. À l’est; le versant droit de l’Ain, très raide, a un belvédère, des sites d’escalade et de vol libre et reste protégé par une longue zone naturelle. Tout au sud, le méandre de Chambod, recoupé par un court bief, offre ainsi une île (Chambod) avec colonie de vacances, base de loisirs et de nautisme, camping. Hautecourt et Romanèche avaient ensemble 1 600 hab. vers 1840 et ont connu leur minimum démographique au moment de la fusion; leur population a légèrement augmenté depuis; elle s’est encore accrue de 100 hab. après 1999.

Cize (190 Cizois, 452 ha), 23 km à l’est de Bourg, a son village au-dessus de la rive droite de l’Ain, face à la presqu’île de Bolozon, dans le même val que Romanèche et Hautecourt. Tout au nord, la voie ferrée vers Nantua emprunte le viaduc de Cize-Bolozon qui enjambe l’Ain. La commune a 60 hab. de plus qu’en 1999.

Grand-Corent (190 Corentins, 713 ha), 20 km à l’est de Bourg, perche son très petit village à 500 m sur la crête anticlinale qui domine le val d’Hautecourt-Cize et la rive droite de l’Ain. Sa population était tombée à 60 hab. en 1975 (320 en 1846); elle a augmenté de 80 hab. après 1999.

Villereversure (1 380 Surannais dont 110 à part, 1 745 ha dont 365 de bois), 16 km ESE de Bourg, égrène ses hameaux dans le val synclinal du Suran, dont dérive son nom. Au nord, la gare sur la voie ferrée de Nantua a fait grandir le hameau de Cormorand, où sont des ateliers de plasturgie CAPV (Cleard, 55 sal.) et Anvi (30 sal.) et un institut médico-éducatif, ainsi que la mairie. Villereversure même n’est qu’un hameau au SO. La population de la commune a culminé à 1 300 hab. en 1841 puis était descendue au-dessous de 900 entre 1920 et 1965; elle augmente lentement depuis (+ 170 hab. après 1999).

Ramasse (340 Ramassards, 986 ha) est 15 km à l’est de Bourg; le village est dédoublé, le hameau de Ramasse d’en bas est un peu à l’est dans la plaine. Sur le relief du Revermont à l’ouest, à la limite communale vers 590 m, observatoire de Ceyzériat-Ramasse; site karstique du Tunnel de l’Espoir au NE de la commune. Celle-ci a 120 hab. de plus qu’en 1999 (+55%).

Nord-est

Jasseron (1 860 Jasseronnais, 1 893 ha dont 875 de bois), a son village à 8 km à l’est de Bourg, au pied du Revermont sur la D956; château ruiné sur le relief, vestiges de poype (butte défensive) au sud. La part de plaine, très boisée (bois de Teyssonge) et traversée par l’A40, porte au SO l’aérodrome dit de Bourg-Ceyzériat (codes XBK, LFHS) doté d’une piste en dur de 1 140 m et d’une piste en herbe de 735 m, d’aéroclubs et d’un accueil pour l’aviation d’affaires. Tout près, l’A40 offre une aire de service. Jasseron a des ruines de château fort du 13e s., des restes plus ou moins remaniés de châteaux du 16e s., un observatoire astronomique du Revermont (point de vue). La commune n’avait que 600 hab. en 1931, 650 en 1968 et croît depuis; elle a gagné 590 hab. après 1999 (+46%).

Meillonnas (1 410 Meillonnassiens, 1 774 ha dont 652 de bois) est juste au pied du Revermont à la sortie du Sevron, qui prend sa source dans la commune même. Le village a de belles maisons anciennes et des restes d’un château médiéval qui servit de faïencerie au 18e s.; quelques petits ateliers. Meillonnas n’avait que 610 hab. en 1962, contre 1 300 vers 1840, mais sa population croît depuis; elle a gagné 180 hab. après 1999.

Drom (220 Dromniers, 778 ha), 12 km à l’est de Bourg, occupe un val synclinal connu pour ses formes karstiques souterraines; parcours karstique du Puits du Fay au sud; +60 hab. après 1999.

Simandre-sur-Suran (670 Simandrins, 1 630 ha dont 536 de bois), 17 km ENE de Bourg, nommée Simandre simplement jusqu’en 1994, est dans le val synclinal du Suran, desservie par la voie ferrée vers Nantua. Elle a un atelier de plastiques (TMP Convert Jou Plast, 55 sal.), et une fruitière à comté. Près du village, subsiste le menhir de la Pierre Fiche. Le finage est occupé à l’ouest par la forêt domaniale de la Rousse et dominé à l’est par le mont du Couloir, que perce le tunnel de la voie ferrée vers Nantua au Petit-Simandre (tunnel de la Racouse). La population est étale depuis 1999.

Corveissiat (6 200 Curtiveissiens, 2 269 ha dont 684 de bois) est à 25 km ENE de Bourg. Le village est perché à 460 m sur un plateau qui domine l’Ain par un escarpement rigide de 200 m de haut; dans un profond vallon s’ouvre la grotte de la Balme; plastiques Plastifal (25 sal.). La commune a été agrandie en 1944 en fusionnant avec celle de Saint-Maurice-des-Chazeaux (ou d’Échazeaux) au nord (50 hab.), en 1964, en intégrant celle d’Arnans (90 hab.) au NO; sa population a légèrement augmenté ensuite et a crû de 140 hab. depuis 1999 (+29%). Côté est, la limite du finage suit la rive droite de l’Ain. Tout au sud, le barrage de Chalours (dit aussi de Cize-Bolozon) a été édifié en 1931 et doté d’une usine électrique de 23 MW (90 GWh/an). Il retient deux plans d’eau, séparés par l’étroitesse de la partie encaissée du cours de l’Ain: un derrière le barrage, l’autre 6 km en amont, dans la petite plaine de confluence de l’Ain et de la Valouse, à la limite départementale. C’est là le site du hameau au nom significatif de Conflans, orné d’un beau château d’origine féodale (13e s.) mais plusieurs fois remanié. Il est dominé par l’escarpement qui longe l’Ain, et d’où l’on a une très belle vue. Juste en arrière, l’ancien village des Chasaux (parfois Chazeaux et même Échazeaux) a une église du 14e s., à toit de lauze, classée. Le plateau de Corveissiat est vers 500 m; il est surmonté à l’ouest par le plateau d’Arnans, 100 m plus haut; sur le flanc d’un promontoire dans un site très encaissé, subsistent des restes de l’ancienne chartreuse de Sélignac, construite au 13e s. et refaite en 1756 avant d’être dégradée pendant la Révolution. À l’extrême sud, le tunnel de la Raouze (1 684 m) débouche sur le viaduc de Cize-Bolozon, à la fois routier et ferroviaire, long de 269 m et haut de 52 m, bâti en 1875, et reconstruit en 1950 après avoir été détruit par la Résistance en juillet 1944.

Nivigne-et-Suran (860 ha, 3 098 ha) est une commune nouvelle de 2017, limitrophe du département du Jura. Elle unit Chavannes-sur-Suran (720 ha, 2 150 ha) et Germagnat (140 hab., 948 ha). Les deux noms propres des communes ont été abandonnés au profit de ceux de la rivière (Suran) et du mont (signal de Nivigne, 768 m) qu’elles ont en commun. Chavannes est à 19 km ENE de Bourg, au milieu du val au bord du Suran, Germagnat est 6 km au NNE à la sortie d’une petite cluse débouchant sur le Suran. Chavannes est une ancienne bourgade forte, créée au Moyen Âge à la façon des bastides avec un plan en damier, et qui conserve des maisons anciennes; elle abrite un établissement des emballages plastiques Rovip (70 sal.), une fabrique de plastiques TMP (55 sal.). La commune compte plusieurs hameaux et monte à l’ouest jusqu’au sommet du Revermont; le château de Rosy (16e et 18e s.) s’y dissimule dans une étroite vallée qui divise le Revermont, parallèle à la crête. La commune a 280 hab. de plus que ses composantes en 1999 (+48%).

Pouillat (83 Pouillatis, 623 ha dont 256 de bois) est à 26 km ENE de Bourg, 7 km au nord de Chavannes, et s’avance en pointe dans le département du Jura; elle occupe une étroite dépression entre le mont Nivigne à l’ouest, où elle atteint 768 m, et le mont Petit à l’est (467 m). Pouillat a eu 330 hab. en 1806, 26 en 1982, et a crû depuis.

Courmangoux (510 Curtimengiens, 1 482 ha), limitrophe du Jura, a son village à 20 km NE de Bourg au pied des reliefs, appuyé à l’est par les gros hameaux de Chevignat et Roissiat sur la D52. Le finage s’étend dans les bois au sud-ouest. La commune a 150 hab. de plus qu’en 1999 (+42%).

Bény (780 Bénéens, 1 825 ha dont 329 de bois) est à 16 km NE de Bourg, au bord du Sevron. La commune est traversée à l’est par la D1083 et la voie ferrée vers Lons-le-Saunier (gare) et flanquée à l’ouest par l’A39, qui y a une double aire de repos; traitement de déchets EGT (45 sal.). La commune a gagné 150 hab. après 1999 (+24%).

Villemotier (650 Villemontois, 1 386 ha), 18 km au NE de Bourg, a son village sur la D1083; à l’ouest sont la voie ferré vers le Jura, le val du Sevron, puis hameau de Montfollet. La population a gagné 190 hab. depuis 1999 (+41%).

Verjon (340 Verjonnais, 511 ha), 20 km NE de Bourg, au pied du relief, a des restes de son ancien château féodal de la Verjonnière; le mont Verjon ou Vergeon est à 496 m. La commune n’avait que 200 hab. en 1999.

Salavre (280 hab., 777 ha dont 227 de bois), limitrophe du Jura, 21 km NNE de Bourg, a un village pittoresque qui s’enfonce dans un étroit vallon où se cache une grotte; l’altitude monte à 565 m sur le Revermont près du hameau de Dingier.

Coligny (1 190 Colignois, 1 687 ha dont 572 de bois), limitrophe du Jura, est un ancien chef-lieu de canton, 22 km NNE de Bourg. Le village est sur la D1083 (ex-N83,) au pied du Revermont sur lequel le finage monte à un peu plus de 400 m; il a reçu un collège public. La population communale a été stable de 1950 à 1999, à son étiage, puis a gagné 80 habitants — mais elle atteignait encore 1 700 hab. en 1900.

Pirajoux (420 Pirajelliens; 1 299 ha) est dans la plaine à 22 km NNE de Bourg. Le finage est limité à l’est par le Solnan et touche à l’ouest au val du Sevron; l’A39, dite Autoroute Verte, traverse à l’ouest. La commune a gagné 120 hab. (+40%) après 1999.

Domsure (510 Domsurois, 1 520 ha), limitrophe du Jura et de la Saône-et-Loire, 4 km au SO de Saint-Amour, est à 28 km NNE de Bourg. Le finage est traversé à l’ouest par le Solnan et l’A39; +100 hab. après 1999.

Beaupont (690 Beaupontois, 1 407 ha), limitrophe de la Saône-et-Loire, 26 km NNE de Bourg, est sur l’interfluve entre Sevron et Solnan, celle-ci suivie par l’A39 qui est équipée de l’échangeur à péage n°10 tout au NE. Au nord de la commune, à Bevey où est une vieille ferme à cheminée sarrasine protégée, un orphelinat de religieuses a hébergé pendant la dernière guerre Robert Schuman; il sert de foyer d’accueil médicalisé pour handicapés (50 places). Beaupont a gagné 190 hab. (+38%) depuis 1999.

Cormoz (710 Cormoziens, 1 956 ha), limitrophe de la Saône-et-Loire, 30 km au nord de Bourg, a son village sur une basse colline de rive gauche du Sevron; au sud, zone d’activités des Reisses et étangs de pisciculture sur 160 ha. La commune a 190 hab. de plus qu’en 1999 (+37%).

Nord-ouest

Saint-Martin-le-Châtel (810 Castelmartinois, 1 277 ha) est à 15 km NO de Bourg; elle a gagné 150 hab. depuis 1999 (+23%).

Curtafond (780 hab., 1 241 ha dont 220 de bois), 16 km NO de Bourg, accueille une maison de retraite (30 sal., groupe Medica) et a gagné 180 hab. après1999 (+30%). L’A40 longe le village au sud.

Confrançon (1 370 Confrançonnais, 1 817 ha), 18 km NO de Bourg, est traversée par l’A40 et la N79, celle-ci passant par les hameaux du Logis Neuf et de l’Effondras au SO; château de Loriol (15e et 19e s.) au NO, parc animalier Eurofarm aux Mazettes à l’est; métallerie Latem (35 sal.). Confrançon a gagné 490 hab. depuis 1999 (+56%).

Saint-Didier-d’Aussiat (870 Désidériens, 1 522 ha) est à 21 km au NO de Bourg; +190 hab. après 1999 (+26%).

Saint-Sulpice (260 Saint-Sulpiciens, 526 ha) est à 23 km NO de Bourg; elle n’avait que 100 hab. en 1999.

Marsonnas (1 050 hab., 1 838 ha) est à 24 km NO de Bourg à l’ouest de Montrevel; elle a 310 hab. de plus qu’en 1999 (+42%).

Malafretaz (1 240 Malafertois, 919 ha), 16 km NNO de Bourg, est traversée par la D975 et la voie verte ex- ferrée vers Montrevel, et bornée à l’est par la Reyssouze. Des étangs au nord accueillent la base de loisirs de la Plaine Tonique. La commune a 560 hab. de plus qu’en 1999 (+82%).

Jayat (1 260 Jayatis, 1 630 ha), 22 km NNO de Bourg, est sur la grand-route (D975) au nord de Montrevel; elle a un Intermarché (75 sal.). La Reyssouze limite le finage à l’est. La population communale a augmenté de 480 hab. après 1999 (+62%).

Béréziat (490 hab., 1 083 ha) est à 27 km NO de Bourg, avec 150 hab. de plus qu’en 1999 (+44%).

Saint-Jean-sur-Reyssouze (780 hab., 2 748 ha dont 297 de bois), 31 km NO de Bourg, a un atelier d’abattage de volailles Ronsard Bresse (55 sal.). Le village n’est pas au bord de la Reyssouze, mais à 3 km; toutefois, la rivière borde la commune au nord. La population de Saint-Jean dépassait 1 600 hab. au milieu du 19e s.; elle a diminué jusqu’en 1990 (540 hab.) mais a gagné 190 hab. après 1999 (+32%).

Saint-Julien-sur-Reyssouze (730 hab., 752 ha), 26 km NNO de Bourg, a son village sur la D975 à la traversée de la Reyssouze. Elle a gagné 210 hab. après 1999 (+40%).

Mantenay-Montlin (320 Mantenayrons, 1 080 ha), 29 km NNO de Bourg, résulte d’une fusion de 1807; Mantenay est sur la D975, avec un camping au bord de la Reyssouze; Montlin est un petit hameau à l’est; + 70 hab. après 1999.

Lescheroux (720 Lescherouxiens, 2 005 ha dont 250 de bois) est à 28 km au NNO de Bourg; étang de Pontremble (36 ha); +120 hab. après 1999.

Saint-Nizier-le-Bouchoux (630 hab., 2 830 ha) est à 34 km NNO de Bourg. Le finage est limitrophe de la Saône-et-Loire au nord-est, passé le hameau de Matrignat; +40 hab. après 1999.

Curciat-Dongalon (450 Curciatis, 2 394 ha), limitrophe de la Saône-et-Loire, est à 35 km au NNO de Bourg, sur la D2; +40 hab. après 1999.

Vernoux (310 hab., 1 020 ha) est limitrophe de la Saône-et-Loire, à 35 km NNO de Bourg; elle n’avait que 130 hab. en 1999.

Courtes (300 hab., 906 ha), 33 km NNO de Bourg, jouxte Saint-Trivier au SE; au NE du finage, la ferme de la Forêt est aménagée en musée. La commune a 80 hab. de plus qu’en 1999.

Saint-Trivier-de-Courtes (1 120 hab., 1 653 ha dont 233 de bois), limitrophe de la Saône-et-Loire, est un ancien chef-lieu de canton, 32 km NNO de Bourg sur la route de Tournus. (D975) au croisement de la D2. Le village a quelques restes de mur d’enceinte et une tour octogonale; un collège public, un ancien hospice transformé en maison de retraite d’une centaine d’hôtes; métallerie Sotrafa (20 sal.), atelier des Façonniers bressans (30 sal.), Intermarché (25 sal.). Au nord du village, la ferme du Tremblay, à cheminée sarrasine (gros foyer central), a été classée et rénovée comme ferme-musée. La commune a eu plus de 1 500 hab. dans les années 1840; sa population a lentement décliné ensuite, et durant tout le 20e s. Elle a crû de 70 hab. après 1999.

Servignat (170 hab., 799 ha) 31 km NNO de Bourg, a son village sur le versant droit de la Reyssouze.

Vescours (230 hab., 1 248 ha dont 352 de bois), limitrophe de la Saône-et-Loire est à 38 km NNO de Bourg; étang Morel (22 ha); +40 hab. après 1999.